Trajet Amérique du Sud


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Nous envoyer un SMS: le plaisir d'offrir et de recevoir

Sur le site http://messaging.iridium.com/ vous avez la possibilité de nous envoyer un SMS gratuit (n'oubliez pas de vous identifier à la fin du message).Quel plaisir pour nous de recevoir un message d'amitié au fin fond de la brousse!
Pour cela, il suffit d'aller sur le site ci-dessus et de compléter avec notre numéro IRIDIUM (+8816) 32534201

Autre possibilité: en bas de chaque message, il y a possibilité d'envoyer un commentaire. Choisissez l'option anonyme (mais indiquez quand même dans le texte qui vous êtes sinon ça sera dur de savoir qui nous écrit), et le tour est joué. Mais là, nous ne pouvons consulter ces messages qu'avec un accès internet alors qu'avec le tel satellite, on le reçoit n'importe où et n'importe quand.

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vendredi 28 novembre 2008

Tombouctou

Malgré plusieurs hésitations, nous sommes finalement à Tombouctou, le mythe. Nous nous méfions des mythes, et nous avons raison. A peine arrivés, nous sommes assaillis par les guides. Normal, les toubabs viennent ici.

Nous allons à l’auberge Caravansérail ; La nuit n’est pas tranquille ; entre le gros groupe électrogène qui fournit Tombouctou en électricité, les tam tam un peu partout, les coqs, les muezzins, les klaxons, les clairons des militaires, nous préférons le calme des nuits de brousse.

Le lendemain, accompagnés de Danièle et Jean Claude, nous flânons dans la ville. Il fait chaud. Il n’y a pas grand-chose à voir. La Mosquée ? Jacques croyait qu’elle était plus grande que celle de Djenné !!

Vous l’aurez compris, aller à Tombouctou relève du mythe, un mythe qui est tombé il y a quelques siècles déjà. Les légendes ont la vie dure. En tout cas, cela fait marcher l'activité touristique et les toubabs sont heureux de se faire brinqueballer sur 200 km de grosse tôle!

Pas de photo! Vous l'aurez compris, cela ne nous a pas excité plus que ça.

A Tombouctou, je rencontre un vieil "ami", non pas Ahlzeimer, mais "Malaria". Et je me retrouve avec 40 de fièvre; refaire les 200 km de tôle retour est un véritable supplice. Je suis incapable de conduire. Nuit en brousse, vertiges, nausées, bref, la galère, pourtant dans un cadre majestueux mais dans ces conditions, on n'y pense pas trop.

Il y a 2 ans, nous étions déjà aller au dispensaire de Douentza. Nous y retournons. Les choses ont évolué; ils peuvent maintenant faire un dépistage palud et fièvre typhoïde, certes pas avec des machines ultra modernes, mais à la mimine. Une honte pour nous pays dits développés de voir ces gars travailler avec des pipettes et des becs benzen!

A+


1 commentaire:

là-bas si j'y suis a dit…

Blogs et sites de voyages devraient être censurés ! Mais que fait Sarkozy ? Certains ne font rien qu'à démoraliser les troupes des braves travailleurs. A défaut d'éléphants on doit se contenter des mésanges et des poules du voisin. C'est moins dangereux certes, mais aussi beaucoup moins exotique. Une autre fois sans doute car ce n'est que partie remise.
Hasta huego