Lettonie
Finalement,la pluie s'est calmée et on a pu continuer la visite. Vilnius est une ville agréable, joli, très jolie, et à taille humaine. On est loin des Prague ou Venise entrme de surface, de richesses aussi, mais la ballade est romantique.
A noter que les marchans deballent tot, Pluie ou us baltique?
Pour finir la soirée, un resto à la déco paysanne, avec une cuisine locale excellente et pas chère 50 lt à 3.
Il fallut ensuite faire vite pour sortir de la ville sans se planter sous un oage énorme _ aquaplanning garanti _ et trouver une foret où se cacher. Lavie est belle.
25 07 07 Temps correct; leçons de français et de svt; Camille les attend de bon coeur mais elle ne respecte pas son prof particulier comme son instit habituel; d'où des crises parfois. Quand elle aura compris ça, ça sera bien car on avance vite. On s'est aperçu que le français est sa bête noire; surprenant!
En anglais et allemand, ça colle bien, même en en faisant tous les jours, la répétition étant la clé de l'assimilation.
Départ por la Lettonie. Passage de frontière sans difficulté; néanmoins le douanier nous demande la carte grise. Change 1 € contre 0.693 lvl. Go 0,617 lvl.
Visite du Versailles letton, le palais de Rundale peu après la frontière. Magnifique; des salles splendides, bien meublées. Des jardins pas encore à la hauteur. 7 Lvl avec la taxe photo indispensable.
Nous avons ensuite suivi la piste lettone; oui de la piste. Avec de la vraie tôle et des nids de cigogne. Oui, on a oublié de vous dire que, depuis la Pologne, il y a moultes cigognes. Et pleins de peti nenfants.
Il y a de la forêt pour bivouaquer, mais à tendance marécageuse. N56 37.663 E 23 47.974. 220 km
Après une bonne tarte aux myrtilles, dodo; à moins qu'un sanglier ne nous réveille. Il y en a; nous avons vu les sangliers en letton Hi Hi!
26 07 07 Beau temps. 50 km jusqu’à Riga pour découvrir une ville très sympa avec des mélanges de genres architecturaux.
Parking gardé pour la voiture, ce qui est rassurant, mais 3 lat de l'heure. C'est fou le nombre de nouveaux riches à Riga; des jeunes, dont non seulement la tenue vestimentaire est ostentatoire, mais aussi la voiture. Concentration de Porsche, Ferrari, Corvette, Hummer, voitures us, limousines et j'en passe. Ah j'oubliais; il y a les passagères qui vont avec, toutes des barbies bronzées avec les spots de la Baltique, tailles mannequins. Et nous avons des preuves de ce que nous avançons.
Mais dès qu'on s'éloigne du centre ville, c'est incroyable comme l'évolution de l'espèce va vite!
Revenons au Vieux Riga. C'est différent de Vilnius qui faisait dans la beauté sobre. Ici, tous les genres sont mélangés, y compris les restes et ruines de l'ère soviétique. Nous avons bien aimé cette hétérogènéité; de très belles façades, des sculpures qui attirent l'oeil .Incontesablement, cette ville mérite le déplacement. Et sans compter tous les édifices modernes, qu'on aime ou qu'on déteste.
Une connecion nternet pour finir, infestée de virus, ce qui fait qu'on ne pouvait pas parler avec Tom; on la senti un peu déçu. Une prochaine fois. Ce 'est pas facile dans le cyber espace; ici, outre les virus, il faisait si sombre qu'on ne voyait pas les touches du micro et il y avait une musique si forte qu'on n'aurait de toutes façons pas pu skyper.
Sorte de la ville complètement embouteillée. Route côtière vers l'Estonie où il fut difficile de trouver un bivouac malgré l'omniprésence de forêts de sapins, mais aussi de bouleaux.; des résidences partout. Finalement, encore une forêt salvatrice, avec tellement de myrtilles qu'on en a les pieds tout noirs rien qu'en marchant. Bonjour les taches; Annie rââââââle. N 57 31.284 E24 5.68
27 7 2007 Temps un peu nuageux; des ramasseurs de champigons. Pas de contact; c'est dommage. Nous sommes dans des pays européens, où les habitudes ancestrales sont remplacées par les réflexes classiques du développement, du rapport à l'argent et aux autres. Nous espérons que cela ne soit pas le cas dans les campagnes russes. Il n'ya qu'en Pologne où nous avons eu un contact amical d'un pêcheur émigré en Allemagne, et qui avait le sens de l'échange et de l'hospitalité; rappelez vous, il nous avait offert des victuailles, non avariées je précise pour certaines mauvaises langues, et cela en toute simplicité. Sympa.
Départ vers midi pour rejoindre la mer baltique à 5 km à tout casser. Toujours le problème des chemins privés et interdits. J'ai demandé mon chemin à une famille en train de jardiner; lui parlait un petit peu français. Pour contredire ce que je viens juste d'écrire ci-dessus, il nous invita à prendre un verre. Nous passames un excellent moment en compagnie de Peter, de sa femme et de ses 2 enfants de 11 et 13 ans. Des gens cultivés, très ouverts sur le monde, qui nous ont beaucoup appris sur la Letonie, son passé, ses difficultés passées et présentes. Histoire tourmentée et source de beaucoup de désastres humains. Toujours en proie à des difficultés économiques, les conditions sont néanmoins réunies pour faire revenir au pays des gens comme Peter - qui vivait auparavant à Toronto - en y trouvant des conditions financières satisfaisantes et contribuant ainsi au développement de son pays.
Thank you for your welcome, for the pees, and if you come in France, don't forget to call us, we will be very happy to see you again.
Finalement, la Baltique se montre à nous. Camille est heureuse de tremper ses mollets et de jouer au ballon sur le sable fin. Pour le bain, on verra plus tard...
Un gros orage mettra fin à notre séjour balnéaire.
Comme chaque jour, recherche du fameux bivouac; vous en entendrez souvent parler dans le journal de bord. On aurait pu retourner à l'endroit de la veille, mais autant ne pas prendre d'habitude.
On tombe sur un espace dit "camping" où il n'y a rien comme infrastructure; cout 8 lit soit 12€.. C'est vrai qu'on avait lu ça dans le Routard. Aucun intérêt pour nous. Autant un vrai bivouac bien tranquilou.
2 commentaires:
Monsieur, lorsque vous parler de Land, précisez qu'il s'agit d'un Land Cruiser Coyota. Ne mélangez pas les torchons et les soviets, fût-ce dans les pays de l'est. Bravo pour la tarte aux myrtilles, la preuve qu'emmener des femmes avec soi en voyage peut avoir quelque utilité (martine vient de me fiche une baffe...). Alors Camille, on fait de la résistance ? A moins que les profs laissent à désirer. Travaille bien sinon tu finiras comme tes parents, à errer sur les routes, quasiment SDF. Attention aux cigognes, un 4eme passager n'est pas nécessaire. Amusez-vous bien quand même.
Bertrand (qui vient de se raser)
Espionné par Martine
salut les aventuriers je craque pour la tarte aux mirtilles bon voyage biz a vous 3 thierry
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