Trajet Amérique du Sud


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Nous envoyer un SMS: le plaisir d'offrir et de recevoir

Sur le site http://messaging.iridium.com/ vous avez la possibilité de nous envoyer un SMS gratuit (n'oubliez pas de vous identifier à la fin du message).Quel plaisir pour nous de recevoir un message d'amitié au fin fond de la brousse!
Pour cela, il suffit d'aller sur le site ci-dessus et de compléter avec notre numéro IRIDIUM (+8816) 32534201

Autre possibilité: en bas de chaque message, il y a possibilité d'envoyer un commentaire. Choisissez l'option anonyme (mais indiquez quand même dans le texte qui vous êtes sinon ça sera dur de savoir qui nous écrit), et le tour est joué. Mais là, nous ne pouvons consulter ces messages qu'avec un accès internet alors qu'avec le tel satellite, on le reçoit n'importe où et n'importe quand.

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vendredi 26 mars 2010

Terre en vue

Avec un peu de mal, on va trouver un bus hyper bondê qui n'a rien à envier à notre métro national, qui va nous emmener à Copacabana, le saint des saints, ou le sein des seins. C'était une véritable course de F1, les conducteurs s'entrainet pour le prochain Grand Prix. Il vaut ;ieux se tenir. Et nous voila sur la fameuse plage connue du monde entier. Alors, autant vous orfévenir tout de suite, il y a du beau et du moins beau, mais surtout du moins beau. Par contre, aucun complexe aussi pour les hommes et leur gros bidon (j'ai encore du chemin à faire pour les rattraper contrairement à ce que dit Camille) que pour les femmes qui sont plutot charnues on va dire.
Oh! Et puis quand les ploucs de la campagne sont de sortie, ils sont en extase devant les travelots, et on n'est pas au bois de Boulogne. En faisqnt la queue une demi heure à la Poste pour expédier les cours de Camille, il y en avait un ou une devant moi et je sais toujours pas si je dois dire un ou une. On en a même vu un(e) avec des seins ... et de la barbe!! Darwin doit se retourner dans sa tombe.
Sinon, le top du top, c'êtait l'entrée en bateau dans la baie de Rio, avec le Pain de sucre, le Christ rédempteur et la perspective extraordinaire. Sans oublier les favellas qui se dressent sur les collines environnantes.
Il n'est pas rare non plus de croiser des jeunes qui dorment par terre et on n'a rien vu. Promenade déconseillée la nuit.
Ce type de mégalopole fait rêver, mais c'est aussi un cauchemar et l'insécurité règne. Sans tomber dans la paranoia, il faut faire attention et les nombreux vigiles en tous genres avec gilets pare balles et 357 magnum vous donnent la chair de poule... par 30 degrés à l'ombre.

Le 9, départ pour le port de Santos ville qui a vu naitre le roi Pelé. C'est l'annexe de Sao Paulo autre super mégalopole. Pour mémoire, le Brésil compte dans les 190 millions d'habitants, dont 80% vivent sur le littoral. Toute la côte est urbanisée, avec des buildings partout. A chaque fois, on croirait arriver à Manhattan.

De Santos àBuenos Aires (BA) il y a environ 2000 km, soit 3 jours de mer, sans compter qu'il faut remonter l'estuaire du rio Parana, qu'un pilote est necessaire car bien qu'il fasse plusieurs dizaines de km de largeur, il est peu profond t un chenal de navigation est prévu. Ce qui nous vaudra une nuit ancrê au large de BA, et nous remonterons ensuite tout l'estuaire et un bout de rio pour accoster à Zarate port pour l'export des voitures. NOus y rriverons le samedi, jour peu travaillø avec le dimanche, et nous y resteons jusqu'au mardi. C'est rageant d'ëtre coincê là à 70 km de BA, avec l'impossibilité de quitter le bateau ailleurs qu'à BA, pour des histoires de douane. Comme on dit, za a ratê.
Le bateau nous pése, on n'aspire qu'á voler de nos propres ailes d'autant qu'à Zarate, 2 excursions en ville nous ont permis de se réacclimater à la terre ferme, de gouter la cuisine argentine, le vin argentin, de mettre en pratique notre espagnol. Et l'ambiance nous plait. On a les avantages de pays en voie de développement avec un cout de la vie bas, une nonchalance méditerranéenne, un désordre latent mais pas trop néanmoins. Les gens sont sympas, engagent facilement la conversation. Le temps est magnifique, pas trop chaud, pas trop froid.
Bref, on a envie de se jeter à l'eau mais nous sommes toujours coincês dans notre cargo.

Hasga luego.

Mercredi 17 mars, apres un mois de bateau, on arrive a Buenos Aires. Le passage de la douane se fait les doigts dans le nez et nous voila dans la megalopole de 12 millions d'habitants a rechercher Annie qui a rendu les clefs a son hote de 2 semaines. Un grand merci a Mercedes pour son accueil.
Avec le GPS, quelques sens i9nterdits par la et des interdictions de tourner a gauche, nous arrivons. Les retrouvailles sont generatrices de quelques laemes. Snif!
Maintenant, que fait on? J'avais lu quelque part qu'apres un mois de bateau, on a du mal a se prendre en main car on nous prenait completement en charge. C'est vrai. On n'a pense a rien, on ne sair pas quoi faire. On se balladera a pied dans le quartier de Villa Urquiza, avec ses rues ombragees. Tout est motif de decouverte pour moi et Camille. Annie nous sert de guide car apres 15 jours ici, elle connait le quartier comme sa poche.
On dormira dans la voiture dans lar rue, sous un orage deluvien qui n'a rien a envier a ceux de Bamako. Les rues ne sont que des rivieres et traverser les rues ne peut se faire sans remonter son pantalon.
Le lendemain, nous feons la connaissance de Mercedes et nous partirons vers Zarate, cela vous dit quelque chose? Nous recherchons le calme de la campagne et nous dirigeons vers de delta du rio Parana. Le soir, nous ferons un bivouac sauvage dans le delta.l Quelle nuit!! Les mous tiques sont legion, hyper agressifs, et sont des centaines dans la bagnole. On s'en sort avec des puqures partout. Ils piquent a travers les vetements. Nuit de folie. La nuit, on sera reveille par un chercheur d'escargot d'eau, des gors trucs, plus mastocs que les bourgogne. Lui, les moustiques ne le derangent pas!!
Direction nord est ppour se rapprocher de l'Uruguay qui est notre premier choix de destination dans notre remontee vers le nord pendant l'hiver. Une route a gauche. Mince, c'est une piste. Avec de la bonne vieille terre noire, amoureuse comme pas une. Le toy est dans un etat pas possible. Et toujours des moustiques. Finalement, au bout de 50 km, notre oeil est attire par un parterre mignonet qui va nous servir d'aire de bivouac. Nous sommes a Colonia Elia, un bled de 700 ames. L'accueil est sympa et les gens passent et repassent par curiosite mais contraierement a l'Afrique, ne s'arretent pas. Dans le supermarche du villge ( un boui boui), nous faisons nos courses. Notre espagnol est mis a mal. Certains mots n'ont pas le meme sens, certaines lettres ne se prononcent pas pareil. On veut faire un barbecue, mais pas de grille.Tant pis, la poelle fera l'affaire.
Le matin, une camionnelle d'un autre age s'arrete evant chez nous. C'est une DINFIA de 1948, 4 cylindres diesel anglais, pompe a injection bosch, fabrication argentien. Vitesse maxi 20 km heure. Dingue. Alejandro, mari de la serveuse du super marche en sort, et nous ammene une grille qu'il vient e souder pour nous. Extra. Finalement on dejeunera tous ensemble avec sa femme Gabriella et sa fille de 18 ans Tamara. On se sent revivre de faire ainsi des rencontres sinceres.
Apres un orage a nouveau dantesque ( la pluie rentrait dans la voiture par capilarite sous l'effet du vent), nous ferons connaissance avec un petit lemurien comme celui de l'age de glace 2 et avec madame la tarentule, assez gracieuse au demeurant.
Nous irons ensemble le lendemain decouvrir une source tiede bien sympa, avec des arbres endemiques a la region de Mesopotamie (comme en Turquie).
Puis apres 5 jours passes sur place (Camille a fini ses devoirs), nous nous dirigeons vers l'Uruguay. Au passage, nous passerons a Conception de Uruguay, une des plus anciennes villes d'Argentine, afin de poster les devoirs du CNED. Puis une visite ua Palacio San Jose, fonde par le General Urquiza premier President argentin. Ce n'est pas Versailles, mais le cadre est sympa.
Puis direction Colon ou nous passons le fleuve Uruguay pour arrvier en...Uruguay.
Les douanes argentines et uruguayennes sont dans le meme bureu ce qui facilite les choses. En trois cups de cuillere a pot, tout est reglé. Le douanier uruguayen etait tout heureux de voir des francais et a meme chante le debut de la Marseillaise. Visa de 90 jours pour les personnes et 365 jours pour la voiture. Pas de fouille sanitaire. On des loin des douanes infernales d'Afrique ou d'ailleurs...d'ailleurs. Un eput de change au distributeur de Paysandu ville frontiere (1 € = 25 P). Quelques courses et recherche d'un bivouac. Nous sommes dans la region profonde et rurale de l'Uruguay, avec ses exploitations agricoles (haciendas) et ses gauchos. Nous trouvons un petit coin tranquilo.

lundi 8 mars 2010

De Dakar a Rio de Janeiro



Dakar. Notre première escale africaine. Nous ne connaissons pas cette ville. Même si nous savons qu'à pied notre rayon d'action ne sera pas grand, nous mettons pied à terre histoire de se dégourdir les jambes. Bien sur, nous serons pris en charge par les traditionnels guides officiels de la Grimaldi, mais bon, c'est l'Afrique. Quelques achats plus tard et une bière Spéciale plus tard (dans un bar à p...., pas mal d'ailleurs), nous retournons au bateau, notre cocon, notre havre de paix
Et c'est reparti pour la Sierra Leone. oú nous accosterons après 24 heures de navigation. De loin, la ville de Freetown n'est que bidonvilles. Initialement nous ne devions pas pouvoir fouler le pied, mais le second nous a autorisé à sortir à nos risques et périls. Certains ont foulé le sol; personnellement, je suis resté à bord à observer le débarquement des voitures, débarquement sans ménagement.
A terre, qu'ont ils vu? Rien. Des rues non asphaltées, des gamins en pagaille, aucun blanc (pas un seul tamalou). Aucun signe d'animosité.

12 heures de manutention et nous larguons les amares pour la grande traversée, direction le Brésil, Suape plus exactement. 4 jours de mer et en prime le passage dans l'hémisphère sud.
Rien à signaler...Ah si! Un clandestin. En ce samedi très ensoleillé à 1000 km des côtes africaines, branle bas de combat pour l'équipage, sans que les passagers sachent réellement ce qui se tramait. Radio Grimaldi nous a alors appris qu'ils avaient attrapé un clandestin et que l'équipage fouillait tout le bateau á la recherche d'éventuels autres passagers n'ayant pas acquitté leur billet. Apparement, il était seul. Que vont ils en faire? Le débarquer au Brésil, le jeter à la mer ou modifier le menu de demain? Trève de plaisanterie, nous n'en savons rien. L'équipage n'est pas bavard sur le sujet.
On peut d'ailleurs se poser des questions. Il y quelques jours avant d'arriver à Freetown, Jean Marie a aperçu une minuscule embarcation sans voile à 120 km des côtes!!! Pêcheurs ou embarcation dérivante?

Dernière minute. Notre correspondant permanent sur le navire de la Grimaldi Grande Buenos Aires vient de nous transmettre cette dépèche: le prisonnier affirme ëtre du Liberia ( à défaut d'ëtre libéré) et déclare n'avoir que 16 ans. Info ou intox?

Denière dernière minute: l'équipage et les passagers ont fait un exercice d'évacuation générale du navire et un exercice d'incendie. Rassemblement sur le pont avec gilets de sauvetage, casque sur la tête et combinaison néoprène de survie. Exercice de descente des chaloupes de sauvetage équipées de harnais, moteur, carburant, rations énergétiques de survie, etc...Quant à l'exercice anti incendie, au demeurant sèrieux, il s'est soldé par un copieux arrosage à la pompe à incendie des passagers sauf votre reporter de terrain qui était justement sur le terrain. Mimine a été quitte pour se faire une lessive complète.
Mais qui était donc l'instigateur de ces troubles? Vous ne devinerez jamais. Le second du navire, et par dessus le marché responsable de la sécurité. Comme quoi tout fout le camp mes braves gens.
Tout ceci sous l'oeil de notre clandestin de service qui regardait ces énergumènes à travers son hublot de porte cadenassée.

Encore une dernière minute. La prochaine fois, j'emmène la parabole et retransmet en direct live sur GNN ( Grimaldi Navy News). Nous venons de passer dans l'hêmisphère sud. Nous avons maintenant la tëte en bas. A peu près à mi chemin entre l'Afrique et l'Amérique.





En ce 1er mars, la journée commence mal avec le micro ordinateur qui rend l'âme. Heureusement que ça arrive aujourd'hui et pas demain qui est le jour de départ d'Annie. Un coup de fil avec le satellite (nous sommes encore à 1000 km des cõtes brésiliennes) pour qu'elle en ramène un dans ses bagages.
Nous demandons à visiter la salle des machines. C'est dantesque. D'abord la taille du 8 cylindres, le bruit infernal, la chaleur suffocante. Et dire que les mecs qui bossent la dedans portent une combine de travail. Un tableau de ccommande qui ferair palir d'envie un 747. 4 générateurs secondaires, un principal. Un ampèrage de 1350 A pour 450 V. Avec ça, le compteur ne risque pas de sauter. Des pompes à eau gigantesques, des compresseurs à air dèmesurés, une machine à désaler l'eau de mer, un arbre de transmission de 50 cm de diamètre. Des pistons de 60 cm de diamètre avec 4 segments. On a calculé que ça devait faire une cylindrée approchant les 250 m3. Dément. L'antre du monstre est d'un autre monde. Nous sommes sur une autre planète... et trempés comme des soupes au lait.

A peine remontès, on découvre qu'on a changé de direction, que le bateau penche à gauche et que le poste de pilotage est en effervescence. Tout rentre dans l'ordre au bout de quelques minutes, après avoir fair un beau S sur l'Atlantique, mais on ne connaitra pas la nature exacte du problème. Chacun dans son rõle.


Pour le diner, une bonne surprise. Un barbecue est organisé. Le capitaine et le second se collent à la cuisine. Photos. Marco, le bel italien, veut nous prendre en photo avec les finlandaises. La recherche de la position idéale est bizarrement longue. Trop tard. On se prend une bassine de soupe à la tomate sur la tronche. C'est pout fêter le passage de l'équateur. Tant pis pour les bons usages, on se badigeonne avec le second. On n'a pas osé le capitaine quand même.
Puis ce sera une soirée super sympa où les barrières hièrarchiques s'estompent, musique, du capitaine quand même (sarde), danses, vin sicilien, whisky mais seulement pour les passagers et le staff. Il faut garder les idées claires pour diriger le bateau.
Avec un peu d'alcool et de musique, les esprits...et les corps s'échauffent. Un marin est un homme. Quelques mains semblent s'éterniser, les langues semblent se délier, des portes s'ouvriront et se fermeront tard dans la nuit. Radio moquette est créée. Tous à vos postes ... de radio bien sur.


Jour J pour Annie qui prend son envol. Nous arriverons en même temps sur le continent sud américain mais pas au même endroit. Nous avons encore des miles nautiques à faire, et 5 ports: Suape près de Recife, Vitoria, Rio, Santos au Brésil , Zarate en Argentine et enfin Buenos Aires.

Nous arrivons le 3 mars sur le Nouveau Continent, tout comme Annie mais à près de 4000 km quand même. SMS. Elle est arrivée à bon (aéro) port sans encombre. Mercedes l'a accueillie. Il lui reste maintenant à s'occuper.
A Suape (c'est le nom du port à 40 km au sud de Recife), nous sommes dans une zone industrielle et toujours prisonnier de notre rafiot. Nous avons posé le pied sur le sol brésilien, histoire de...Le temps est magnifique, les plages super et nos amis en tandem peuvent confirmer que les Brésiliennes portent le string. Eux peuvent sortir avec leut bicloune ou biclown ou bicloon comme vous voulez, mais pas nous avec notre caisse, Histoire de douane.

Une escale qui ne devait durer que quelques heures va durer 48 heures. Eh oui, nous avons notre alien à bord, notre fameux clandestin. On ne l'a pas mangé, pas assez joufflu. La police est montée à bord, l'a emmené. Le Captain a du faire des papiers et des papiers en 36 exemplaires; il a été convoqué après enquëte ce qui explique notre retard. Et la compagnie devra payer son billet d'avion retour pour Dakar! Y surement des oiliciers qui vont se payer des vacances au Sénégal gratos!
A part ça, la vie est belle mais il faut s'occuper. On est comme des petits vieux dans leur maison de retraite dorèe; dodo, le petit dej, baby, leçons, rebaby, releçons, miam miam, capiccino, siesta, baby, un tour sur le pont à zieuter les exocets, re baby, lecture pas mal, rebouffe et re truc. Vivement la fin.

Prochaine étape, Vitoria, au niveau de Belo Horizonte. Le port st à côté de la ville, jolie parait il. Mais rien sur le guide du Brésil à son sujet. On ira se ballader et vous donner des nouvelles du front de mer.

5 mars 2010. Vitoria. Magnifique entrèe dans le port qu est n fait un bras de mer ou une rivière, entouré de collines. Mais l'activité portuaire, les immeubles plus ou moins délabrés gachent l'ensemble. Le soir, nous irons nous ballader dans la vieille ville. Dé paysement garanti avec la chaleur, les klaxons, l'autoradio à tue tête, le matchde foot sur écran géant, les Brésiliennes plutot potelées. On est loin des clichés de Copacabana.
Le déchargement se déroulera la nuit, des centaines de voitures neuves, de luxe, sortiront des entrailles de la bête. Les marins en profiteront pour mettre pied à terre. Et le matin, nous repartirons avant l'heure prévue. Direction Rio. 550 km.

Nous arrivons au large de Rio le 7 au soir, mais lepilote n'étant disponible qu'au petit matin, nous jetterons l'ancre. Et à 5 heures du mat (tu parles de vacances0, entrèe dans la baie avec le lever de l'astre solaire. Les symboles de Rio sont bien lá: le pain de sucre, le Christ rédempteur, les favellas, les gratte ciel du centre ville. Il ne manque que les anseuses de samba et les footballeurs. Nous nous organisons un tour de bus sight seeing dans la ville qui est immense et imossible à parcourir à pied, en tout cas dans le créneau horaire qui nous est imparti. Allez, zou, on y go.